Palpitations, sentiment d’urgence, pensées négatives… qui n’a jamais connu ce trio infernal ? Le grand coupable : le stress. Pour s’en défaire, cette semaine, on a testé la technique de l’ancrage. Récit d’une expérience de lâcher prise aux effets prodigieux.
L’ancrage : pour flirter avec l’ici et maintenant
Comme annoncé en intro, l’ancrage passe haut la main le test de l’efficacité sur la gestion du stress. Le secret de cet enracinement issu de la méditation ? Il nous ramène comme par magie à l’instant présent. Vécu de l’intérieur. Comme dans un cocon.
Imaginez un bateau bousculé par les vagues (on s’imagine volontiers au bureau en plein rush). Pour l’empêcher de dériver, rien de tel qu’une ancre jetée à la mer. C’est la même chose avec l’ancrage. Grâce à cet exercice basique, on se focalise sur son propre ressenti. L’air qui entre par le nez, la sensation du sol sous les pieds, la chaleur des rayons du soleil sur le visage.
Résultat : les bugs de concentration s’envolent et on ne se retrouve plus pour un oui ou pour un non plongé dans la tourmente des émotions négatives. Pour savoir comment procéder, lisez ce qui suit !
Comment pratiquer ?
L’exercice consiste tout d’abord à s’extraire de toute agitation. Exit téléphone, ordinateur, télévision. Assis(e) dans un endroit aussi calme que possible et les yeux fermés :
A utiliser sans modération dès les premiers symptômes de stress.
Pratiquez-vous l’ancrage sans le savoir ?
Vous vous demandez souvent comment votre cours de Zumba® ou votre séance d’aquabike peuvent vous faire autant de bien psychologiquement ? L’explication tient en un mot : ancrage. En réalité, toute activité qui favorise la prise de conscience corporelle nous permet de renouer avec notre vraie nature. Happé(e) par la sensation, on met ses pensées en suspens et… ça soulage les neurones !
A faire : pratiquer le yoga pour expérimenter les bienfaits du recentrage volontaire à travers une activité de remise en forme.
Crédit photo : Pexels – Textes : Skom.
Auteur : Séverine Skom