Avant, pendant, et même après les fêtes de Noël et du Jour de l’An, les chocolats débarquent généreusement dans notre quotidien. Au bureau, à la maison, à l’école… on fond de plaisir pour ces douceurs hivernales régressives à souhait. Comment limiter l’impact de leur dégustation sur la balance ? On vous dit tout.
Le saviez-vous ? Le chocolat noir est réputé pour sa richesse en magnésium, en fer et en polyphénols. Voilà une bonne raison de plébisciter cette gourmandise hivernale à la saveur puissante. Attention toutefois, plus le taux de cacao baisse et… plus les mauvais élèves que sont les sucres et les graisses grimpent en flèche.
À faire : miser sur un lingot affichant au minimum 70 % de cacao. Le must : opter pour une version de chocolat noir à 80 % ou même plus de 90 % de cacao.
À éviter : les fourrages et autres petits plaisirs de type pâte d’amandes, praliné et crème.
Ici, le taux de cacao chute irrémédiablement. De la version noire qui comportait 70 % de cacao au minimum, on passe à une version lait qui affiche un score compris entre 25 et 40 %. Dénuée en grande partie de ses bienfaits pour la santé, cette version lait compense la perte de cacao par un ajout de lait en poudre, de sucre et de beurre de cacao.
Onctueux et doux certes, mais… tellement moins healthy !
Cette tablette immaculée fleure bon l’enfance. Sucré à souhait, le chocolat blanc ne contient en réalité aucune trace de cacao ! La recette ? Au beurre de cacao ont été ajoutés du sucre et des matières lactées. Notre conseil, l’éviter en préférant son homologue le plus foncé et, pour les plus accros, le consommer avec la plus grande modération.
Le réflexe gourmand à adopter : lire les étiquettes.
Pour vérifier la qualité d’un chocolat, veillez à ce que le sucre arrive en 2e position, ou même en 3e position (jamais en 1ère position) après le beurre de cacao et la pâte de cacao.
Crédit photo : Pexels – Textes : Skom.
Auteur : Séverine Skom